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Déjà vendu par Bliss

Hôtel particulier avec piscine
Au cœur d'une ville animée

Superbe restauration pour cette propriété avec jardin

Tels d’insatiables explorateurs de la Gascogne, chaque aube nouvelle est synonyme de promesses et d’univers à défricher. Tels nous voici alors, excités devant cette propriété qui, à elle seule, justifiait de se réveiller ce matin-là !

Cette magnifique demeure repousse loin les limites de nos conceptions convenues lorsque l’on évoque la “maison gasconne en coeur de ville” alors, avant que vous ne pénétriez plus avant, rejetez tout préjugé et – à la manière d’un maître Yogi – ouvrez votre esprit afin d’embrasser pleinement la surprise à venir.

Exclusivité Bliss
756 000
Frais d'agence inclus (5%) à la charge du vendeur
RéférenceBliss-552
Surface377
Terrain780
Chambres5
ChauffageCentrale au gaz de ville
Taxe foncière2762
Proche de
  • Condom
Aéroport de Toulouse115Km
Gare TGV40Km

Toutes les mesures sont approximatives

DPE - Conso. d'énergie

kWh/m².an

GES - Émissions de CO₂

kg CO₂/m².an

L'arrivée sur les lieux...

De l’autre côté de cette imposante porte en bois, vous penserez d’abord vous trouver dans l’intimité secrète d’une maison de campagne, une paix parfaite presque déconnectée des lois de l’Univers et pourtant, la ville est là, joyeuse, animée, vibrante, prête à vous accueillir.

Un cloître arboré ceint de hauts murs en pierres, une piscine délicatement lovée dans un coin reculé du jardin… ne manque que la sérénade sous la balustrade à ce décor typiquement romantique.
La maison se cache dans le repli d’une petite rue tortueuse au cachet fortement médiéval.

De l’extérieur, rien ne permet de prendre la mesure du volume de la propriété plantée ici, et encore moins d’imaginer y trouver un jardin avec piscine !

Suivez-nous !

Une fois à l’intérieur de l’imposant hall d’entrée nos yeux sont irrésistiblement attirés par les contours courbe de l’escalier grimpant deux étages plus haut.

Si jamais l’aspect de grandeur du hall d’entrée devait convoquer chez vous la volonté d’adopter des manières formelles alors sans doute laisseriez-vous votre manteau ici. Enfin manteau… plutôt redingote car, en ces lieux, difficile de ne pas se laisser griser par le lustre des siècles ! Malheureusement, pas de calendrier dans les parages pour spécifier la date… 1850 ? 1750 ? …

A gauche de l’escalier, une salle voûtée en pierres aux faux-airs de donjon gothique accueille un bureau moderne, quelques papiers éparses et diverses lampes.

Voilà une pièce idéale, juste ce qu’il faut de caverneux et cosy pour se plonger dans son manuscrit secret, sa lucarne de lumière donnant sur le monde extérieure augmentant notre impression déjà prégnante de vivre sous la surface, à l’abri du temps qui passe. Un peu plus loin reposent les millésimes de la cave à vin, témoignages eux-aussi, sinon spirituels, du moins spiritueux.

Ce tandem bureau-cave à vin ne manque pas de charme et offre une vraie retraite calme et cosy à l’écart de l’agitation des étages supérieurs.

La visite continue

Depuis le hall d’entrée l’escalier se déploie, plein d’une promesse luxueuse. La suspension spécialement conçue y pend sur toute la hauteur, éclairant d’une lumière résolument design et contemporaine les circonvolutions des marches en bois.

Le premier étage exhale un délicieux parfum typiquement XVIIIe avec ses plafonds haut placés, ses hautes fenêtres et la vue sur le jardin attenant. Les pièces y ont conservé les cheminées d’antan ainsi que bon nombre d’éléments d’époque tels que le parquet en point de Hongrie ou encore les figures en stuc incrustées dans les trumeaux des cheminées représentant ni plus ni moins d’Artagnan et son aussi puissante que terrible ennemie au service du cardinal Richelieu : Milady de Winter… témoignages s’il en fallait encore de la richesse du patrimoine culturel gascon.

Les pièces défilent, l’une ouvrant sur la suivante, en enfilade, dans le plus pur style des appartements cossus de l’époque, dans la mesure où nous déambulons depuis la salle de réception jusqu’à la salle à manger et au bout à la cuisine.

La cuisine est en parfait état, agrémentée de nombreux placards et étagères. Un soupçon de modernité appréciable pour un espace destiné à être fonctionnel qui fort heureusement ne jure pas avec le reste de la maison. Les plans de travail brillent et la lumière du jardin vient y darder ses rayons chaleureux.

Bien qu’étant située au premier étage de la propriété, les portes de la cuisine s’ouvrent sur un fabuleux jardin, divisé en deux parts, l’une végétalisée avec pelouse, arbres et bosquets, l’autre hébergeant la piscine ainsi que la terrasse.

Maintenant, gagnons l'extérieur

La période est idéale pour parcourir le jardin. L’élément le plus remarquable consiste en ses hauts murs de pierres l’encerclant, parfaites toiles de fond minérales conférant au tout un aspect privé, promesse d’intimité. Une porte en fer forgé s’ouvre sur l’autre partie du jardin et sur la piscine, toujours bienvenue en ville, surtout lorsqu’elles sont de si belles dimensions !

La propriété offre, tout compte fait, un jardin de taille appréciable pour une maison de ville, esthétique, facile d’entretien, joliment arboré et structurellement intéressant avec la division de l’espace. Ne reste plus qu’au printemps à faire son office et à faire bourgeonner cette nature ce jour-là endormie.

A l’extrémité du jardin, tout à côté de la cuisine, on trouvera l’accès à la chaufferie, la buanderie ainsi qu’à une sympathique grange en pierres offrant de nouvelles possibilités de développement.

Nota bene : il y a également deux garages.

Machine arrière !

De nouveau à l’intérieur, notre attention file vers les pièces situées de l’autre côté du palier principal, au niveau duquel nous trouvons un nouvel escalier, un WC indépendant, une salle TV, un vestibule et son piano droit ainsi qu’un couloir menant à la chambre du bout, décrite comme étant “la chambre à la piscine”, ses fenêtres surplombant cette section précise du jardin. De ce côté-ci de la maison se trouvent également une salle de bain ainsi qu’un autre WC.

Au deuxième étage, nous tombons sur une chambre d’enfant spacieuse, une petite étude, une salle de bain et un WC. Ce niveau héberge la chambre parentale, vaste et sublime éclairée de deux imposantes fenêtres surplombant le jardin, avec son dressing si bien conçu que l’on pardonnerait celui ou celle pensant soudainement s’être égaré dans quelque vestiaire élégant d’une boutique parisienne.

Une troisième salle de bain, un nouveau WC, deux chambres d’amis, l’une grande, l’autre moins, toutes deux donnant accès à une quatrième salle de bain et, décidément, un nouveau WC. Dans cette partie de la maison se trouve une dernière chambre d’amis en cours de réalisation avec, de nouveau, sa salle de bain et son WC.

Au dernier étage se trouve une petite pièce pouvant très bien être convertie en une chambre d’amis occasionnelle ainsi qu’un grand espace ouvert type “loft” dont l’usage reste à définir.

Nos impressions chez Bliss

Voilà une propriété éclatante, mariant avec délicatesse l’élégance cossue du XVIIIe siècle et la modernité assumée de certains éléments. Chaleureuse, la maison l’est à coup sûr, nous invitant à y déambuler, à flâner, lire, écrire, refaire le monde dans ses salons bourgeois.

Certaines pièces sont vastes et d’aspect grandiose, d’autres plus petites, intimes, cosy… deux salles deux ambiances mais, à mesure que nous circulons dans la maison, suivant la ligne tracée par l’escalier, grimpant les marches pour les descendre ensuite, évoluant d’étage en étage à l’envie, il est évident que cette demeure nous invite à la contempler telle une peinture qu’on ne saurait garder à l’abri des regards ; et à l’habiter, assis sur cette chaise, attablé à cette table, profitant du coucher de soleil à travers cette fenêtre, etc.

L’ambiance proposée ici séduira quiconque apprécie le confort d’un appartement parisien parfaitement rénové dans un cadre typique des demeures gasconnes bourgeoises du XVIIIe.

Les jardins sont un délice tout autant qu’une surprise, un bijou au cœur d’une ville animée, à quelques minutes seulement du marché et des restaurants locaux.

Quel héros littéraire pourrait vivre ici ?

Si Milady de Winter était effectivement en quête du parfait boudoir au sein duquel elle pourrait fomenter ses plans machiavéliques, assurément cette maison lui conviendrait. Combien cocasse ce serait que d’imaginer une patrouille venue l’interpeller s’épuiser à la tâche. Après tout, comment imaginer qu’une telle dame vit des murs si secrets, déguisée à la vue de tous ! Et une fois à l’intérieur, les observer se débattre avec l’enfilade des étages et des pièces tandis que l’intéressée, enfilant sa cape de soie rouge et s’apprêtant à filer à l’anglaise, se gausse de leurs efforts vains.

De vous à nous - qui aimera habiter ici ?

Quiconque venu dans le Gers depuis Paris, Londres ou New-York, appréciera sûrement le charme et la finesse de cette propriété et la qualité évidente de sa rénovation.

Facile aussi d’imaginer l’attrait de cette maison sur ceux pour qui un décor rustique serait du plus mauvais effet. Que nenni Milady, point de rudesse ici.

Une maison grandiloquente où il fera bon siroter un thé agrémenté de quelques biscuits, les jambes croisées, la sous-tasse posée dans la main gauche, les lèvres pincées et l’auriculaire de la main droite élégamment tendu. Une maison pour d’intimes dîners aux chandelles, au milieu d’un mobilier choisi avec soin, d’imposants doubles rideaux, de tapisseries évoquant des paysages lointains. Une maison à chérir !

Cette propriété s’avère être un hôtel particulier dans une ville qui fut autrefois le siège d’une importante aristocratie. Elle plaira donc, pour sa surface au moins, à une famille nombreuse, à un couple retraité cherchant à héberger l’armée de ses petits-enfants du fait de la possibilité qu’elle offre d’y vivre en configuration complète ou, une fois le calme revenu, de manière plus mesurée, concentré sur la partie centrale de la maison seulement.

A tous ceux qui souhaiteront ici exposer les objets d’art accumulés au fil des ans.

Enfin, évidemment, à tous ceux qui aiment les jardins quand cela n’implique pas de passer sa vie à l’entretenir. La vie est trop courte pour la passer à dos de tracteur tondeuse !




    Travaux requis

    Aucun
    Voilà une maison qui se suffit à elle-même, tant sur le plan esthétique que purement technique. On y pose ses valises et on profite de la vie.

    Mots clefs

    Élégance – Éclat – Couleur – Confort – Intimité – Originalité

    Plus d'images…

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    Réglementation
    Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr