Grande maison de familledans son cocon de verdure
avec tour médiévale
- Gazaupouy
Toutes les mesures sont approximatives
Nichée au cœur d’un petit hameau du Gers, à un souffle de Condom, cette maison semble contenir tout ce qui fait l’âme d’un lieu : ses histoires murmurées, ses silences habités, sa mémoire patinée par les ans. Elle ne se contente pas d’être un décor ; elle est une sentinelle discrète de ce paysage.
Un cocon de verdure
Une fois le portail imposant passé, le jardin se révèle dans toute sa grâce, mêlant simplicité et raffinement.
Les topiaires de buis ajoutent une touche d’élégance formelle, tandis qu’un charmant puits en pierres coiffé d’un petit toit en tuiles patinées semble suspendu hors du temps.
Ce tableau bucolique oscille entre le charme romantique d’un cottage anglais et l’ardente douceur d’un jardin toscan. Chaque élément, des lignes arrondies des buis à l’authenticité des pierres, murmure une poésie intemporelle, invitant à se perdre dans une flânerie empreinte de sérénité.
Bien plus qu’une maison : une promesse
La maison, massive et discrète, semble sortie d’un autre siècle. Ses murs en pierre, fatigués mais solides, portent encore les stigmates du temps, comme un vieil habit brodé que l’on n’a jamais eu le cœur de jeter.
Dès que l’on pousse la porte, un souffle du passé vous enveloppe. Ce n’est pas une maison, c’est une mémoire vivante. Une odeur de bois ciré, un parfum de terre cuite chauffée par le soleil, un feu de bois – tout vous murmure que vous êtes attendu.
Le grand salon, avec ses poutres au plafond, paraît fait pour des hivers passés au coin du feu, des discussions qui s’étirent et des regards qui s’accrochent.
Non loin, un salon plus petit, comme un refuge où il fait bon lire et rêvasser.
Dans le bureau, la lumière danse, se faufile à travers les rideaux légers et éclaire un univers propice à l’écriture, à la réflexion, à ces instants perdus où l’on regarde la fenêtre sans vraiment la voir.
La cuisine ne se soucie pas des modes. Son carrelage orange est une promesse d’années heureuses, de recettes griffonnées sur des carnets jaunis, de conversations entre deux éclats de rire.
À côté, la salle à manger semble avoir vu passer des générations. On y devine des nappes épaisses, des assiettes creuses, et des recettes de grands-mères.
L’étage se déploie avec nonchalance. Sept chambres, spacieuses, confidentielles. Elles vous accueillent avec cette modestie élégante qui fait tout le charme des lieux oubliés.
Dehors, une grande terrasse couverte s’ouvre sur la campagne. Le vent s’y faufile, discret. On entend peut-être un oiseau, ou rien du tout. On s’y retrouve autour d’une grande table pour de longs repas à l’ombre, des soirées à l’abri de la fraicheur qui tombe.
Et puis, il y a la tour. Une tour médiévale du XIIIe siècle, droite et fière. Elle ne cherche pas à plaire, elle sait qu’elle impressionne. Sous ses pierres, on imagine des secrets, des ombres.
Mais elle n’est pas intimidante. On devine qu’elle s’amuserait bien d’un mariage, de soirées déguisées ou des cris joyeux d’enfants jouant aux chevaliers.
L’avis de Bliss
Cette maison, c’est un prétexte à s’attarder. Elle ne fait pas semblant. Elle ne s’agite pas pour plaire. Tout ici respire l’authenticité, une sorte de vérité tranquille. On imagine les étés brûlants, les dîners qui traînent sous la terrasse, les hivers où le bois craque dans la cheminée. On se dit qu’on viendrait pour quelques jours et qu’on resterait des mois.
Il y a quelque chose d’insidieusement attachant dans ces lieux. Un charme qui ne se revendique pas, mais qui vous prend au dépourvu. Les murs ont vu des rires et des chagrins, des festins et des silences. La tour, droite et fière, semble regarder le temps passer sans jamais s’en émouvoir.
C’est une maison qui ne triche pas, une maison qui sait se faire aimer.
Quelques infos supplémentaires
Nombre de WC total : 4
DPE: en attente
Équipements additionnels: Cave & grand préau accessible de puis la rue.
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